Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
Sentiers Orthodoxes

25995015_906484786181507_5004365405159187264_n


Attention, Firefox n'affiche par les livres correctement















































46ce7db1a0d304a355abd0ce4bf98935Panagia_to_Axion_Esti

24796648_895437193952933_4001175774681100896_n

25399057_900700253426627_4942145350124828210_n

AO04tricherousa

25498075_900776906752295_7669139544224391643_n

25660114_905260582970594_370405423218521131_n

Pan_Koukouzelissa_Gr_Lavra

23167633_874324106064242_4187411298369207121_n

23318999_879131982250121_5719822479440533469_n

Panagia_Portaitissa_Iveron

18402828_1356825631074208_6392143979376403732_n

18699948_1371145459642225_3663622899197467756_n

22894184_1518924588197644_1706723151193469518_n

23843489_1538702349553201_8427599528462061344_n

15136005_1185368598219913_8637017854115459144_n

3 janvier 2018

Journal d'un pèlerin - 10/1

21 octobre 2015

La tentation de partir, et de mettre fin à ma visite du Mont Athos, était grande ce matin. Le jour est pluvieux et froid. « Le petit été de S.Demetrio », selon les dires de Marius, et qui arrive d'habitude à cette époque (jusqu'au 28 octobre) ne semble pas durer, et je commence déjà à sentir le froid humide qui est en train de tomber sur le côté nord du Mont Athos, vers où j’étais supposé aller aujourd'hui. Mais à Dafni, je ne me sens plus aucune envie de prendre le bateau vers Ouranopoli et, après une énième tentative infructueuse de trouver une carte SIM Internet, 2 pâtisseries et du café frappé, je prends le bus vers Karyès. Bondé de gens, cela monte lentement dans les montagnes, immergées dans la pluie et le brouillard, jusqu’au petit village, plongé dans le brouillard le plus dense. Le moine à la jambe de bois est toujours là, autant que les chauffeurs de taxi avec l'air de truands. Je suis heureux qu'il y ait un bus (le même qui venait de Dafni) qui va partir de là dans une demi-heure vers Iviron, ma prochaine étape pour ces deux jours à venir.

 

iviron

 

Au milieu de la pluie et du froid, le monastère apparaît finalement comme un château sorti d'un roman kafkaien, émergeant parmi la bruine et le brouillard. Il est précisément comme Alain Durel l’avait décrit, majestueux, une authentique citadelle fortifiée et massive, avec une immense cour et l'odeur du bois brûlé dans les cheminées et les poêles. L'accueil des pèlerins est bien organisé, et je me trouve dans une chambre avec un Grec, la soixantaine, qui parle très bien l'anglais. Nous avons tout de suite établi une bonne conversation et bientôt, après lui avoir raconté la raison de ma venue, Panagiotis m’invite à aller visiter ses amis du monastère.

Nous sommes entrés dans une autre aile, où il m'à conduit dans une espèce de grand appartement, où la cuisine est un vrai bazar et où tout sent le pipi de chat. Le moine, un ami de Panagiotis, petit mais très vif, E*, nous accueille en faisant la fête pour son ami. Il nous emmène immédiatement sur un long balcon en bois, sur la paroi extérieure d’Iviron, au-dessus de la mer. Malgré le vent et le froid, nous nous sommes assis à une petite table, où l'on nous sert des expressos et des figues sèches. Deux autres moines arrivent bientôt, un Allemand né aux Etats-Unis, et un grec, chacun la quarantaine. Le grec est assez sauvage, et sans aucun soin d'hygiène personnelle. Il commence à planer dans l'air une odeur de divers aliments passés à la poêle, et bientôt nous avons une table remplie d’olives, du pain grillé avec de l'huile d'olive et des herbes, et poêlée de champignons sauvages. Le moine sauvage commence à les dévorer, avec du pain, à mains nues. Après il y a des poivrons piquants et de l'ail... Tout le monde parle sans arrêt, et on voit que ces moines là apprécient bien une bonne table où l'on peut discuter avec ses amis. Il manque juste le vin et la bière pour compléter le tableau... Et aujourd'hui c’est jour de jeûne. Après une conversation qui a traîné sans fin sur les cas d'empoisonnement par les champignons, ce qui semble arriver assez souvent par ici, je prends l'excuse qu'il est l’heure des Vêpres et je me glisse dehors.

 

M

 

Le service religieux était déjà avancé, mais j’ai encore le temps de profiter de la magnificence de l’église d’Iviron. Elle est la plus impressionnante de toutes celles que j'ai vu depuis mon arrivée au Mont Athos. Spacieuse, avec ses lourdes icônes et ses peintures murales assombries, des lustres en bronze immenses et magnifiques, tout respire une atmosphère à la hauteur de ses 1000 ans d'histoire. Mais mon esprit est remarquablement léger. Il y a quelque chose d'extraordinaire dans l’église, ce qui contraste fortement avec l’ambiance ordinaire et sale de l'appartement d’E*. Les Vêpres finies, nous passons dans une petite chapelle, attenante du narthex, où des centaines de reliques sont en exposition permanente.

Et il n’est pas encore l'heure du repas, car tout le monde est allé à la petite chapelle à côté du catholicon, pour un petit service en l'honneur de la Mère de Dieu Portaitissa. L'intensité du lieu est encore plus forte que dans le catholicon. Presque tous les moines et les pèlerins font des prosternations au sol, devant l'icône, et quand c’est mon tour, en approchant mon visage de l'icône, un sentiment indescriptible "s’ouvre" devant moi. Comme si une porte s’était ouverte, et qu'il était impossible d'atteindre et d’embrasser l'icône. Un porte vers un espace sidéral, mais toutefois cela n’inspire aucune crainte, au contraire. C’est un "vide", mais qui permet la liberté absolue, la liberté de construire tout ce que nous voulons. Je me rends compte de mon insignifiance, de ma pauvreté, et je pressens la grandeur et le potentiel indescriptible qui se trouvent devant moi, face à laquelle je ne peux que confesser mon néant et mon attachement depuis une éternité à des choses complètement stupides et inutiles.

 

M

 

Je vois aussi comment j'ai médité maladroitement, car même dans les moments les plus intenses, il y a une fierté qui semble rester en 2ème plan, qui veut me mettre en évidence, au centre, même lorsque le sentiment est celui d'abandon total, et la reconnaissance et repentir de tous mes péchés et des fautes envers Dieu et tout le monde. Dans une véritable soumission, il ne devrait rester aucun sens de nous-mêmes, mais nous devrions laisser tout l'espace aux personnes divines (en nous).

L'icône de la Vierge Portaitissa a étrangement cet aspect extérieur de deux visages presque totalement noircis, où les coups de pinceau à peine sont visibles, contrastant avec la richesse de tous les ornements en argent et en or. Je prie devant, pour qu’elle reste ici encore pour de nombreuses années à venir, parce que sa disparition (prophétisée) marquera la fin du Mont Athos, comme un bastion de la vie monastique, ce qui commence à être déjà visible partout.

 

Portaitissa display_1

 

Le service fini, on passe au repas, extrêmement simple pour aujourd'hui (mercredi), qui est jour de jeûne, et seulement les pèlerins mangent quelque chose. Il se compose d’une soupe de légumes avec des légumineuses en purée, du pain et des olives, ce qui contraste avec la grandeur de la salle à manger et ses peintures murales. Une longue nef voûtée, avec des tables en marbre gris et de l'espace pour plus de 300 personnes assises. Sur les murs et les plafonds sont représentés plusieurs images panoramiques de la vie du Christ et des dizaines de saints et d’ermites, dont certains complètement nus, couverts de feuilles ou tout simplement du poil très long, comme chez les animaux. Où êtes-vous tous, je demande à la fin, pour nous aider à sortir de cette obscurité moderne? ...

Une autre conclusion sort renforcée : où il y a le plus de force spirituelle positive c’est également où l'action du démon semble la plus virulente et rusée. À Stavronikita, elle prenait (pour moi) la forme de terreurs sombres et irrationnelles. Ici, à Iviron, je constate que certains des moines mènent une vie qui ne diffère pas de la vie des travailleurs des classes inférieures, qui passent leurs soirées assis dans la taverne, entourés d’amis, buvant et mangeant. Était cela dont Alain Durel se plaignait à son passage ici, à propos de l'absence de paix et de recueillement? Peut-être qu'il n’aurait eu aucun motif de plainte s’il avait su partager son temps uniquement entre sa cellule et les chapelles (et le catholicon) ...

Demain, je suis décidé à chercher quelqu'un du monastère pour en savoir plus sur comment revenir et rester un peu de temps ici, pour une prochaine visite.

En relisant Alain Durel, j’y trouve alors le sens de Portaitissa, la gardienne de la porte...   

 

Portaitissa_1

 

Publicité
Publicité
Commentaires
E
Tu sais, j'ai remarqué que tout le monde semble se contenter de peu, actuellement. Quand je dis tout le monde, il y a vraiment très peu d'exceptions. Alors bien sûr, on peut trouver des tas de jolies énergies dans les arbres, les fleurs, la musique etc... Mais peut-être qu'un jour tu pourrais goûter un truc 100 fois plus fort venant d'un vrai maître dans une vraie lignée qui te donne la vraie chose et là tu pourrais te demander "Mais à quoi j'ai joué jusque-là ?".<br /> <br /> Ce qui manque c'est toujours le point de comparaison. Si tu n'as jamais bu que de l'eau, comment peux-tu imaginer la vodka ? C'est de cette façon que tout le monde est très content de ce qu'il a.
E
Arrivé là j'aimerais bien savoir avec quoi tu t'inspires. Parce que les lumières divine, à peu près plus personne ne les transmet autour de nous, et ça n'est pas en faisant disparaître son ego qu'on les trouve. Je veux dire qu'à la base on est vides. De quoi tu te remplis ?
J
"Je vois aussi comment j'ai médité maladroitement, car même dans les moments les plus intenses, il y a une fierté qui semble rester en 2ème plan, qui veut me mettre en évidence, au centre, même lorsque le sentiment est celui d'abandon total, et la reconnaissance et repentir de tous mes péchés et des fautes envers Dieu et tout le monde. Dans une véritable soumission, il ne devrait rester aucun sens de nous-mêmes, mais nous devrions laisser tout l'espace aux personnes divines (en nous)."<br /> <br /> <br /> <br /> Oui, et je crois que cela devrait parler à tout le monde...<br /> <br /> <br /> <br /> Il y a des stades dans la soumission et l'abandon, dans l'effacement de soi-même. Il faut bien partir de là où on est. Et là où on est, il est normal que le désir de Dieu soit entaché de désir égotique et auto-centré. Justement, le chemin amène à découvrir de plus en plus profondément de quoi est fait ce désir, et puis le raffiner, et on ne peut pas sauter les étapes. C'est comme éplucher un oignon. On ne peut accéder aux couches les plus profondes qu'après avoir épluché les couches supérieures.<br /> <br /> <br /> <br /> Donc, en ce qui me concerne, ce n'est même qu'il "semble" rester une "fierté" en 2ème plan, c'est l'évidence que cette "fierté", ce désir auto-centré est là, et sera là jusqu'au bout de la totale soumission, il ne peut en être autrement. Tant qu'il y a un désir, une volonté, un espoir de retirer quoi que ce soit du travail, aller bien, être en paix, et même l'espoir d'être "sauvé", on est loin du compte.<br /> <br /> <br /> <br /> Mais en même temps, ça fait parti du processus, sans ces espoirs, sans ce désir égotique, on n'irait nulle part. L'important c'est de plonger de plus en plus, et de découvrir petit à petit des couches de plus en plus fines de ce désir, et de les abandonner, s'en dépouiller.<br /> <br /> <br /> <br /> "Mon Dieu, si je T'adore par crainte de l'Enfer, brûle-moi dans ses flammes, et si je T'adore par espoir du Paradis, prive m'en. Mais si je T'adore pour Toi-même, ne me refuse pas la contemplation de Ton Eternelle Beauté." - Rabia al-Basri (717–801)
Sentiers Orthodoxes
Publicité
Derniers commentaires

216559

Cathédrale-Saint-Sauveur-sur-le-Sang-Versé-de-Saint-Pétersbourg-Russie

Snap1

new-athos-monastery-abkhazia-january-interiors-being-part-orthodox-church-russia-recent-years-main-48120287

Snap13

Snap10

Snap11

Snap14

Snap020

Snap17

«… L’Antichrist viendra dans son temps déterminé d’avance. Sa venue sera précédée d’une apostasie générale de la foi chrétienne chez la majorité des hommes. C’est par l’apostasie du Christ que l’humanité se préparera à recevoir l’Antichrist et l’accueillera dans son esprit. Dans la disposition même de l’esprit humain se développera un besoin d’inviter l’Antichrist… La société humaine émettra un cri, un appel puissant pour l’intervention d’un génie des génies capable de faire progresser le développement matériel jusqu’au plus haut degré, établissant sur la terre un bien-être factice, qui rendrait le ciel et le paradis superflus pour l’homme. L’Antichrist sera donc la conséquence logique, naturelle et bien-méritée de toute la déchéance morale et spirituelle des hommes».

«La plupart des hommes croient être des vrais chrétiens tout en ignorant le christianisme, qu’ils confondent avec les théories philosophiques mondiales. Les hommes veulent un Christ qui leur parle de cette vie temporelle et non de la vie éternelle. Ils désirent un Christ qui leur offre les biens de cette vie ici-bas et non de celle de l’au-delà, qu’il soit un chef de cette vie terrestre et non le Chef de la vie future. Par cela même, les hommes se précipitent pour recevoir l’Antichrist»

L’Antichrist n’apparaîtra pas dans l’histoire humaine d’une manière foudroyante, il n’aura pas un aspect repoussant, car il pratiquera une morale toute humaine. Il viendra après une préparation séculaire qui a commencé depuis le début de l’Eglise – par le mystère d’iniquité (II 2 Th 2,7) – et qui continue sans interruption jusqu’à aujourd’hui. Une lente apostasie sera alors consommée, préparant l’humanité à recevoir l’Antichrist qu’elle attend comme son chef idéal.

Dans la personne de l’Antichrist, l’humanité verra son plus grand bienfaiteur. Bien sûr, personne ne peut dire quand et comment viendra l’Antichrist. Ce qui est cependant certain est que la somme des compromis des hommes et l’uniformisation de l’humanité ouvriront le chemin à l’Antichrist. Une pareille évolution de l’humanité peut être excellente selon le critère mondain. Cependant, selon le critère chrétien, cette évolution exprimera une dégringolade vers la catastrophe. La mort de ce monde arrivera [lorsqu’il sera] au sommet de sa gloire, au sommet de la tour de Babel, au sommet de l’orgueil humain, lorsque l’homme se trouvera au zénith de son ambition orgueilleuse et voudra se diviniser par ses propres forces, sans tenir compte de Dieu. Le plus tragique est que le mal se présentera aux yeux des hommes comme un bien. […] La catastrophe vers laquelle se dirige l’humanité aura l’apparence de sa plus grande réussite. Ce sera le sommet de la tour de Babel. Le point culminant de la vanité humaine. Le couronnement de l’orgueil humain ! Tout ceci n’effraye pas le chrétien qui sait d’avance que le monde se condamne par lui-même. […]

Toutefois, au temps de l’Antichrist, l’Arche de l’Eglise pourra difficilement être distinguée. Ce qu’on reconnaîtra officiellement comme Eglise aura par degré trahi le trésor de la Foi et rappellera une bouillie unifiée, qui à l’aide de la ruse luciférienne possédera certaines apparences de l’Eglise. Et seuls des petits groupes épars de fidèles (avec une partie minime du clergé) auront conservé vivante la vraie Tradition. Qui donc pourra reconnaître l’Eglise du Christ dans ces petits groupes de vrais croyants orthodoxes méprisés et privés de tout éclat extérieur ? Cependant, c’est juste ces petites paroisses éparses et sans coordination, mais liées entre elles par des liens mystiques du Corps et du Sang du Seigneur, dans le saint Esprit, dans la seule Foi et la Tradition inaltérée – c’est justement elles qui représenteront vers la fin du monde l’Eglise orthodoxe une sainte catholique apostolique. En ce temps-là, même les élus risqueront de s’égarer. Il faudra une grande hardiesse pour qu’un homme ose adhérer à cette minorité de vrais croyants au risque d’être moqués par les intelligents et les forts de ce monde. Il faudra une grande sagesse pour distinguer la vérité, là où tout le monde ne verra que de la naïveté et de la bizarrerie idiote. Combien d’entre les hommes pourront alors trouver leur chemin, lorsque tous les phares indiqueront de fausses voies ? Alors, celui qui persévéra jusqu’à la fin, celui-là sera sauvé.» (Mt 10,22) 

saint Ignace Briantchaninov (1807-1867)

 

20160415_133100-lgst

depositphotos_12349841-stock-photo-orthodox-church-of-st-spyridon

depositphotos_32835089-stock-photo-orthodox-church-in-daugavpils-latvia

Eglise orthodoxe Saint Nicolas Nice

0378a492094b6ea7014436feb95d63e1

1200px-Russian_orthodox_church_outside_russia

Greek-Orthodox-Church

orthodox-church

PWP88382-63-Mystras-Pantanassa

425341304_c95cd46049_b

DSC04757

frescoes

 

webRNS-ORTHODOX-DEACONESSESa-030317 (1)

IMG_6525-2

orthodox-church-sibiu

russia-1199331_960_720-e1470955314327

Thérèse avait la faculté de prendre sur elle les souffrances et les péchés d'autrui afin de coopérer au salut des âmes. Quand elle prenait sur elle une maladie, elle en présentait tous les symptômes, tandis que les vrais malades étant immédiatement soulagés. Il en résulta que dans son entourage on ne s'inquiétait plus quand elle semblait tomber malade : on ne faisait plus venir le médecin et on attendait qu'elle guérisse subitement, ce qui se passait quand la personne pour laquelle Thérèse souffrait avait obtenu les grâces désirées ou s'était convertie. Thérèse expliqua un jour au Docteur Guerlich : "Écoute ! Le sauveur est juste. 
C'est pourquoi il doit punir. Il est aussi miséricordieux et il est disposé à nous aider. Le péché qui a été commis, il doit le punir; mais si un autre prend sur lui la souffrance, justice est faite, et le Sauveur obtient la liberté de sa bonté".

Un jeune étudiant en théologie était atteint d'une très grave tuberculose de la gorge. Prise de pitié, durant les fêtes de Noël 1922, Thérèse pria le Sauveur de lui donner cette maladie en échange de la guérison de ce jeune séminariste. Thérèse fut aussitôt atteinte d'un mal de gorge qui la fit souffrir longtemps. Mais à partir de ce jour, Thérèse ne put plus jamais avaler la moindre nourriture solide. Le jeune étudiant guérit définitivement et fut ordonné prêtre. Le jour où il célébra sa premier messe, le 30 juin 1931, Thérèse fut délivrée de son mal de gorge" 

http://voiemystique.free.fr/therese_neumann_1.htm.

Visiteurs
Depuis la création 6 061


Publicité