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Sentiers Orthodoxes

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5 février 2018

Le dit, le non-dit et l'inter-dit

Dans tout discours proféré (quelque soit son type et à qui il s’adresse) sensé signifier quelque chose il se trouve une part allusive, tissée d’ambiguïté, de nuances, de subtilités. Aucun message n’est totalement clair, limpide, transparent aux autre et à lui-même (à moins de relever du type autoritaire comme un ordre d’exécution dans une armée) dès qu’il contient un peu de richesse.
Lorsqu’on pénètre dans une assemblée ou une société nouvelle de personnes il existe des règles implicites (celles qui sont tacites et non prononcées et sont souvent les plus importantes que celles qui sont écrites) qu’il vaut mieux s’aviser de connaître et de comprendre sous peine de déconvenues certaines.
De façon analogue, quand on entre dans une quelconque “communauté de signes” et de langue, il est utile et bon de repérer des zones de flou et de vague, voire de silence, qui sont en fait les plus importantes et révélatrices, soit le domaine de “l’inter-dit”.
Il est naïvement confondu avec l’interdit ordinaire (le “tabou”, la limite) et figure le masque, le vêtement et le poteau indicateur de l’”inter-dit” pourvoyeur de la variété des niveaux de sens. Les idiots impétueux veulent le braver et le transgresser tel quel, plutôt qu’en comprendre la nature réelle : ils se heurtent à un mur. Pour entrer entre les lignes même, il faut faire un effort conscient : engendrer des “interprétants” dans son esprit permettant d’en dessiner et d’en cerner les contours subtils.
L’exemple de base ce sont les dialogues de Platon où rien n’est vraiment conclu et tout fini de façon aporétique dans un non-dit, sous une forme peu claire et parfois bien étrange.
Souvent un énonciateur doit se cacher ou masquer son propos en fonction d’un contexte http://www.actu-philosophia.com/spi... , car tout n’est pas bon à dire en public (et même en privé), ce qui instaure une tension créative pour engendrer différents niveaux de sens et les degrés complexes de compréhension.
Sinon il s’agit de logique ou de mathématique, là où tous les termes sont fixés par avance et le doute exclu ou d’un discours-type (d’allure paranoïaque) qui se répète sur lui-même et tourne à vide en désignant sans fin un ennemi réel ou imaginaire coupable de tous les maux (en fait internes) dont il s’agirait de se défaire absolument en l’anéantissant au moins en rêve (le capital, les banques, la modernité, les “assistés”, telle ou telle faction politique, religieuse ou sociale...).
Le travail d’un lecteur consiste à fabriquer et engendrer dans son esprit des “interprétants” permettant de donner sens aux signes qui sont émis naturellement par un texte ou une personne (pas forcément intentionnellement mais tout être vivant émet sans discontinuer des “signaux” lisibles informant les autres de son état et de ses dispositions car personne ne vit dans une boîte de conserve isolé des autres).
Un signe renvoie toujours à un objet qu’il signifie, dans sa partie physique, psychique ou intellectuelle comme en un écho multiple. Ce n’est pas une simple abstraction qui désigne un objet formel mais quelque chose renvoyant à une réalité vivante.
Lorsqu’on lit les grands récits des mystiques visionnaires inspirées (Catherine Emmerich, Maria Valtorta, Marie d’Agréda, thérèse Neumann...), on transcende instantanément toutes les barrières.
Thérèse Neumann vivait dans un intime union avec le Sauveur. Pendant trente cinq ans, outre les terribles visions de la Passion de Jésus-Christ, elle eut la grâce de contempler la vie de Jésus sur la terre, et ses miracles. Elle vit le pays où il vécut, travailla et se déplaça, ainsi que les gens qui l'entouraient. Elle connut leurs habitudes et les entendit parler leur langage : l'araméen.
Elle vécut des scènes du voyages des mages, le massacre des innocents, la fuite en Égypte, la vie à Nazareth et la plupart des épisodes de la vie publique de Jésus. Thérèse contempla de nombreuses scènes de la vie de Marie après la résurrection de Jésus, notamment à Éphèse avec Saint Jean, “puis à Jérusalem où, à la fin de sa vie terrestre, elle fut élevée, corps et âme, au Ciel”. Thérèse assista aussi à la lapidation de Saint Étienne. Elle fut témoin de la prédication et du martyre des apôtres et de nombreux saints.
Pendant ses extases, Thérèse Neumann perdait conscience de ce qui l'entourait physiquement, mais, curieusement, ses sens ressentaient ce qui se passait dans les lieux où l'extase la transportait. Les expressions de son corps ou de son visage trahissaient ce qu'elle éprouvait : le froid, la chaleur, les odeurs, etc... Thérèse était présente, matériellement, comme spectatrice de la scène contemplée. Ainsi, elle se penchait si un objet lui cachait ce qu'elle désirait voir”. http://voiemystique.free.fr/therese...
Pour autant les “signes” envoyés par Thérèse sont peu clairs et énigmatiques. Pourquoi ces souffrances infligée ? tout ce sang ? ce cauchemar vivant ? Un être normalement constitué ne supporte déjà pas ou très difficilement sa condition ordinaire. Alors la perspective de “sainteté” consistant à intensifier encore les souffrances vécues est tout simplement insupportable et même révoltant à juste titre (car là on se dit que le créateur doit être lui-même très malade au mauvais sens du terme, ce qui rend complètement contradictoire toutes ses affirmations sur sa supposée bonté, mansuétude et générosité...) pour le tout un chacun.
Parce qu’il manque un “interprétant” valide et opérationnel : le signe envoyé le plus visible passe par la maladie et les fameux “stigmates.” La question subsidiaire jamais abordée frontalement par le pieux biographe (il se contente le plus souvent de “faits” bruts) est : cette souffrance est-elle subie ou voulue ? Si elle est subie on en conclura que le créateur est un despote abominable, un tyran qui choisit arbitrairement des “victimes expiatrices” pour satisfaire son courroux et sa vindicte. Si elle est volontaire on s’interrogera à bon droit sur la santé mentale du mystique.
Mais si on accepte l’hypothèse du surnaturel (une intervention effective de la grâce, l’intercession des saints et l’existence d’un tel royaume qui est quand même le contenu même de la foi), alors il n’y a plus d’incohérence car l’esprit a formé le bon “interprétant” : le saint a lui-même demandé ces souffrances en usant de sa libre volonté, non pour satisfaire des pulsions masochistes et morbides inconscientes, mais pour participer activement au salut des âmes par oeuvre réparatrice et expiatrice (puisqu’il “offre” ses souffrances par choix).
Voilà qui marque aussi la différence entre toute entreprise sectaire (cherchant des avantages particuliers) et un authentique mysticisme : qui est prêt à souffrir ainsi pour autrui ?
Tous ces termes ont été expurgés avec d’autres du vocabulaire actuel par manque d’interprétants valides et relégués au rang des oubliettes. Mais ces clichés reviennent toujours masquées sous d’autres formes comme un “retour de refoulé” en brouillant encore plus les pistes. Je pense donc qu’il convient de s’informer afin de comprendre mieux les choses.
Le choix libre et volontaire du saint d’aider tel ou tel en fonction de circonstances relatives en priant pour lui, voire en transférant dans son corps une part ou tous ses maux montre la possibilité d’échapper à l’emprise du “genre” (une communauté ou un ensemble toujours abstrait impliquant le “sacrifice” de l’individu et son anéantissement en tant que tel car il n’existe qu’en fonction d’exemplaire de l’espèce ou de producteur) sur l’individu (seul concret et réel) par une action de la volonté libre.
C’est tel saint qui agit ainsi dans telles circonstances historiques non reproductibles (et non l’accomplissement général d’un “salut en kit” ou pièces détachées déjà accompli pour tous sous la houlette d’un dieu transcendant et absent dans les faits).
L'état de santé de Thérèse Neumann était devenu incurable, effroyable; on pouvait même se demander comment elle réussissait à vivre, accablée par tant de souffrances que les médecins ne savaient apaiser. Mais voici que vont survenir sept guérisons inexplicables, instantanées et définitives.
– Le 29 avril 1923, alors que Thérèse était complètement aveugle depuis quatre ans et un mois, à 6 heures et demi du matin, soudainement, la vue lui revint : c'était la fin d'une neuvaine que Thérèse avait commencée pour obtenir la béatification de Thérèse de Lisieux
– Au cours d'un pénible accès de crampes, la plaie gangrenée de son pied gauche, que l'on devait amputer dans les meilleurs délais, se trouva entièrement guérie, quelques heures après que l'on eût appliqué dessus des pétales de roses ayant touché le tombeau de la petite Thérèse de l'Enfant Jésus : c'était le 3 mai 1925.
Depuis octobre 1918, Thérèse était presque entièrement paralysée. Le 17 mai 1925, jour de la canonisation de Sainte Thérèse Martin, Thérèse Neumann se vit tout à coup enveloppée de lumière et se mit à crier. Soudain, elle se redressa et, après une longue extase durant laquelle elle parlait avec une personne invisible, elle se leva et se mit à marcher. Thérèse se tenait très droite, elle pouvait s'asseoir et se lever seule, sans douleur : sa colonne vertébrale était redevenue intacte.
13 novembre 1925. Thérèse est à toute extrémité avec une appendicite purulente. À sa demande, on lui appliqua une relique de Sainte Thérèse et elle se mit en prière. Soudain, elle ouvrit les yeux, se souleva et tendit les mains à une personne invisible en disant "Oui !" à plusieurs reprises. Resl raconta plus tard à son curé, le Père Naber qui lui demandait si c'était encore la petite Thérèse qui était venue la secourir : "Oui! et elle m'a dit de me rendre immédiatement à l'église pour remercier Dieu...
Une main m'est apparue, j'ai voulu la saisir, mais je n'y suis pas arrivée. C'était une fine main blanche... Les trois premiers doigts étaient étendus, les autres fermés... et il y avait une pure lumière d'où une voix, que j'ai bien reconnue, m'a dit: 'Afin que le monde reconnaisse qu'il y a une puissance supérieure, tu n'auras pas besoin d'être opérée. Lève-toi et va à l'église, mais tout de suite, tout de suite, afin de remercier le Seigneur. Tu auras encore beaucoup à souffrir... Tu n'as pas à t'en effrayer, non plus que des souffrances intérieures. C'est à cette condition seulement que tu peux coopérer au salut des âmes. Il te faut toujours davantage mourir à toi-même. Garde ta simplicité d'enfant.'" Ce qui surprit tout le monde, c'est l'instantanéité de la guérison.
– 19 novembre 1926. La bronchite aiguë que Thérèse avait contractée s'était transformée en pneumonie double. Le 26 novembre était un vendredi et Thérèse vivait déjà les douleurs de la Passion, comme à l'ordinaire. Thérèse était en train de mourir. On appela le Père Naber qui lui administra l'Extrême Onction. Il était 6 heures du soir : les membres se refroidissaient, son teint prit la couleur de la cendre : c'était la fin. Soudain Thérèse se dressa sur son lit, tendit les mains en avant vers la voix bien connue qui lui parlait de nouveau : "Le Seigneur se réjouit de te voir ainsi soumise. Tu ne dois pas encore mourir. Tout cela est arrivé pour montrer au monde qu'il y a une puissance supérieure. Tu souffriras encore davantage, afin de soutenir les prêtres dans l'œuvre du salut des âmes." De nouveau Thérèse fut le sujet d'une guérison instantanée.
Le lendemain, Thérèse reprit ses activités. Elle était délivrée de tous les maux qui l'avaient clouée au lit depuis plus de six ans.
– À ces guérisons naturellement inexplicables, il convient d'ajouter une autre guérison : du 7 au 13 juillet 1940, Thérèse subit plusieurs attaques d'apoplexie. Pendant neuf jours elle demeura dans un état de semi-inconscience, à demi paralysée. Puis, lors de la vision de l'Assomption, toutes les séquelles dues aux crises d'apoplexie disparurent. Thérèse raconte : "Lorsque la Mère de Dieu sortit en flottant du sépulcre avec les anges, elle me sourit. Elle flotta vers moi et tint sa main droite sur la partie gauche de ma tête. Bien que lors des visions je ne ressentisse rien provenant de l'extérieur, il passa dans la partie droite de mon corps, comme une violente décharge électrique. Je levais la main afin de saisir celle de Marie."
Ce récit (et tous ceux apparentés) interpelle la conscience. Afin de ne pas occulter le message dans le non-dit (le néant), il faut donc trouver des interprétants à l’inter-dit (le “tabou” qui n’a en fait rien de “sexuel” à l’origine mais désigne la zone de signification non “dépliée”, ce qui est dit “entre”) afin pour découvrir ce qui est réellement dit.

 

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«… L’Antichrist viendra dans son temps déterminé d’avance. Sa venue sera précédée d’une apostasie générale de la foi chrétienne chez la majorité des hommes. C’est par l’apostasie du Christ que l’humanité se préparera à recevoir l’Antichrist et l’accueillera dans son esprit. Dans la disposition même de l’esprit humain se développera un besoin d’inviter l’Antichrist… La société humaine émettra un cri, un appel puissant pour l’intervention d’un génie des génies capable de faire progresser le développement matériel jusqu’au plus haut degré, établissant sur la terre un bien-être factice, qui rendrait le ciel et le paradis superflus pour l’homme. L’Antichrist sera donc la conséquence logique, naturelle et bien-méritée de toute la déchéance morale et spirituelle des hommes».

«La plupart des hommes croient être des vrais chrétiens tout en ignorant le christianisme, qu’ils confondent avec les théories philosophiques mondiales. Les hommes veulent un Christ qui leur parle de cette vie temporelle et non de la vie éternelle. Ils désirent un Christ qui leur offre les biens de cette vie ici-bas et non de celle de l’au-delà, qu’il soit un chef de cette vie terrestre et non le Chef de la vie future. Par cela même, les hommes se précipitent pour recevoir l’Antichrist»

L’Antichrist n’apparaîtra pas dans l’histoire humaine d’une manière foudroyante, il n’aura pas un aspect repoussant, car il pratiquera une morale toute humaine. Il viendra après une préparation séculaire qui a commencé depuis le début de l’Eglise – par le mystère d’iniquité (II 2 Th 2,7) – et qui continue sans interruption jusqu’à aujourd’hui. Une lente apostasie sera alors consommée, préparant l’humanité à recevoir l’Antichrist qu’elle attend comme son chef idéal.

Dans la personne de l’Antichrist, l’humanité verra son plus grand bienfaiteur. Bien sûr, personne ne peut dire quand et comment viendra l’Antichrist. Ce qui est cependant certain est que la somme des compromis des hommes et l’uniformisation de l’humanité ouvriront le chemin à l’Antichrist. Une pareille évolution de l’humanité peut être excellente selon le critère mondain. Cependant, selon le critère chrétien, cette évolution exprimera une dégringolade vers la catastrophe. La mort de ce monde arrivera [lorsqu’il sera] au sommet de sa gloire, au sommet de la tour de Babel, au sommet de l’orgueil humain, lorsque l’homme se trouvera au zénith de son ambition orgueilleuse et voudra se diviniser par ses propres forces, sans tenir compte de Dieu. Le plus tragique est que le mal se présentera aux yeux des hommes comme un bien. […] La catastrophe vers laquelle se dirige l’humanité aura l’apparence de sa plus grande réussite. Ce sera le sommet de la tour de Babel. Le point culminant de la vanité humaine. Le couronnement de l’orgueil humain ! Tout ceci n’effraye pas le chrétien qui sait d’avance que le monde se condamne par lui-même. […]

Toutefois, au temps de l’Antichrist, l’Arche de l’Eglise pourra difficilement être distinguée. Ce qu’on reconnaîtra officiellement comme Eglise aura par degré trahi le trésor de la Foi et rappellera une bouillie unifiée, qui à l’aide de la ruse luciférienne possédera certaines apparences de l’Eglise. Et seuls des petits groupes épars de fidèles (avec une partie minime du clergé) auront conservé vivante la vraie Tradition. Qui donc pourra reconnaître l’Eglise du Christ dans ces petits groupes de vrais croyants orthodoxes méprisés et privés de tout éclat extérieur ? Cependant, c’est juste ces petites paroisses éparses et sans coordination, mais liées entre elles par des liens mystiques du Corps et du Sang du Seigneur, dans le saint Esprit, dans la seule Foi et la Tradition inaltérée – c’est justement elles qui représenteront vers la fin du monde l’Eglise orthodoxe une sainte catholique apostolique. En ce temps-là, même les élus risqueront de s’égarer. Il faudra une grande hardiesse pour qu’un homme ose adhérer à cette minorité de vrais croyants au risque d’être moqués par les intelligents et les forts de ce monde. Il faudra une grande sagesse pour distinguer la vérité, là où tout le monde ne verra que de la naïveté et de la bizarrerie idiote. Combien d’entre les hommes pourront alors trouver leur chemin, lorsque tous les phares indiqueront de fausses voies ? Alors, celui qui persévéra jusqu’à la fin, celui-là sera sauvé.» (Mt 10,22) 

saint Ignace Briantchaninov (1807-1867)

 

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Eglise orthodoxe Saint Nicolas Nice

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Thérèse avait la faculté de prendre sur elle les souffrances et les péchés d'autrui afin de coopérer au salut des âmes. Quand elle prenait sur elle une maladie, elle en présentait tous les symptômes, tandis que les vrais malades étant immédiatement soulagés. Il en résulta que dans son entourage on ne s'inquiétait plus quand elle semblait tomber malade : on ne faisait plus venir le médecin et on attendait qu'elle guérisse subitement, ce qui se passait quand la personne pour laquelle Thérèse souffrait avait obtenu les grâces désirées ou s'était convertie. Thérèse expliqua un jour au Docteur Guerlich : "Écoute ! Le sauveur est juste. 
C'est pourquoi il doit punir. Il est aussi miséricordieux et il est disposé à nous aider. Le péché qui a été commis, il doit le punir; mais si un autre prend sur lui la souffrance, justice est faite, et le Sauveur obtient la liberté de sa bonté".

Un jeune étudiant en théologie était atteint d'une très grave tuberculose de la gorge. Prise de pitié, durant les fêtes de Noël 1922, Thérèse pria le Sauveur de lui donner cette maladie en échange de la guérison de ce jeune séminariste. Thérèse fut aussitôt atteinte d'un mal de gorge qui la fit souffrir longtemps. Mais à partir de ce jour, Thérèse ne put plus jamais avaler la moindre nourriture solide. Le jeune étudiant guérit définitivement et fut ordonné prêtre. Le jour où il célébra sa premier messe, le 30 juin 1931, Thérèse fut délivrée de son mal de gorge" 

http://voiemystique.free.fr/therese_neumann_1.htm.

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